mercredi 14 décembre 2011

Une couche pour chaque âge ?



Quand on parle du critère âge, c’est surtout la taille, le poids et les mouvements de l’enfant qu’on prend en compte dans la classification des couches idéales. Le fait de faire porter à l’enfant des couches inappropriées à son âge risque de lui apporter bien des désagréments. Par exemple, si l’enfant est encore assez petit et que la maman lui met une couche d’une taille supérieure, la peau sur les rebords de son entrejambe pourrait s’irriter, ce qui entraînerait une malformation dans le développement normal de ses pieds et à cela s’ajoute la possibilité de fuite à chaque fois qu’il fait ses besoins. Une autre éventualité à considérer consiste à adapter la couche aux différentes gestuelles de l’enfant. Ainsi, il faut bien choisir la couche qui convient au mieux à votre bébé pour qu’il soit complètement à son aise. A titre indicatif, on distingue six gammes de couches selon le poids de l’enfant : les modèles 2-4 kilos, 3-6 kilos, 4-9 kilos, 7-16 kilos, 12-25 kilos et 18-35 kilos. Une autre catégorisation considère par ailleurs l’âge et le mouvement de l’enfant. Dans ce cas, on spécifie trois modèles de couches qui correspondent chacun à l’une des trois phases d’évolution des mouvements de l’enfant. La première phase se situe dès sa naissance jusqu’à ce qu’il puisse marcher à quatre pattes, donc aux environs de ses 9ème et 11ème mois. Dans ce cas, la couche à lui mettre doit être assez épaisse et pouvoir bien absorber les excréments étant donné que l’enfant reste presque toujours dans la position allongée. La deuxième phase est la phase de marche à quatre pattes et aussi du roulé-boulé. A cet âge-là, il lui faut des couches moins serrées avec un entrejambe bien léger afin qu’il puisse mouvoir selon ses capacités du moment. Et finalement, pendant la troisième phase, l’enfant commencera à se tenir debout jusqu’à ce qu’il puisse faire tout seul ses besoins comme un grand. La couche-culotte est idéale pour cette dernière phase parce que l’enfant peut facilement apprendre à l’enfiler quand il va sur son pot.

Les couches jetables (standard ou biodégradable) sont les modèles les plus utilisés par les parents qui n’ont pas assez de temps ou qui ne veulent pas s’attarder au lavage des couches sales. Vous pouvez vous en procurer dans les pharmacies, dans les grands magasins ou sur Internet. Il vous faudra juste bien choisir la taille la plus adaptée à votre enfant. Si vous craignez de vous tromper de taille une fois arrivé à la maison, une petite astuce consiste à acheter le plus petit paquet lors du premier achat. Ainsi, vous vous épargnerez l’éventuel risque de gaspillage engendré par l’achat d’un gros paquet. Côté pratique, c’est la couche la plus mince, la plus absorbante et la moins serrée qui garantira beaucoup plus d’aise à votre enfant. Par ailleurs, vous pouvez aussi vous référer à celles qui indiquent une authentification hypoallergénique afin de prévenir les risques de sensibilité contre certains types d’étoffe. En un mot, le principal avantage des couches jetables, c’est le côté hygiène de l’enfant étant donné qu’il s’agit de couches à usage unique.


Un site sympa et très bien fait pour acheter ces couches directement en ligne :
www.feedodo.com

jeudi 1 décembre 2011

Baby-sitter ce qu'il faut savoir !

Baby-sitter ce qu'il faut savoir !


Quand on travaille, si on désire une soirée entre amoureux, un imprévu, c'est dans ces moments là qu'une baby-sitter peut s'avérer utile dans la vie de tous les jours, mais il faut savoir quelques détails.








Doit-elle être obligatoirement majeure ?


La réponse est non, mais il vous faut une déclaration écrite des parents. Si elle a plus de 14 ans et moins de 16 ans vous devez aller chercher une déclaration auprès de la direction du travail. Et il faut savoir qu'entre 14 et 16 ans elle ne peut pas être employée pour une durée annuelle excédant la moitié des vacances scolaires. Par ailleurs, si votre baby-sitter doit rester tard chez vous, voire y dormir, vous pouvez convenir avec elle d'un paiement forfaitaire. Par exemple, 50 € la soirée. Il est aussi d'usage de la raccompagner si elle n'a pas de moyen de transport, ou de lui payer un taxi.

Comment choisir sa baby-sitter ?


L’idée de confier votre bébé à une inconnue peut vous faire peur, surtout si c’est la première fois. Pour dissiper cette peur, il faut trouver la bonne personne qui saura s’adapter à vos besoins. Pour se faire, il faut se baser dans un premier temps sur des critères simples pour trouver la perle rare.
En premier lieux regarder l'âge, il faut aussi se baser sur l’expérience de la personne avec les enfants et sa maturité. Misez aussi sur la formation de la personne pour sélectionner votre baby-sitter.
Pour la trouver, renseignez-vous auprès de votre entourage, nièces, cousines, frères et sœurs, amis de boulot… (cela vous donnera de suite un meilleur contact avec la baby-sitter lorsque celle-ci vous est recommandée par des amis ou de la famille) Si vous faites choux blanc, il vous reste les petites annonces, internet est très utile pour cela avec de nombreux sites spécialisés, mais n'oubliez pas les annonces dans les centres commerciaux, la boulangerie d'à coté, le bureau tabac, le hall d’immeuble voisin. Privilégiez les annonces originales, bien écrites, avec une bonne présentation. Une fois trouvée, faites-lui passer un entretien et visiter la maison, rappelez-lui les interdits et affichez les numéros les plus importants sur le frigo ou près du téléphone, appelez pour renouer contact pendant les soirées de garde.


Est il plus rentable de payer sa baby-sitter au noir ?

D'un point de vue comptabilité ce n'est pas vraiment intéressant, sachant que le baby-sitting offre des avantages fiscaux, car il fait partie du "service à la personne". Vous pouvez déduire la moitié des sommes versées à votre baby-sitter durant l'année sur votre revenu imposable. Cela correspond à son salaire net plus les cotisations sociales, dans la limite d'un plafond annuel de 12 000 €, majoré de 1 500 € par enfant à charge.
Donc une heure de baby-sitting à 10€ nets, déclarée au forfait (option la plus intéressante) ne revient qu'à 6.31€, et si vous n'êtes pas imposable, cette somme sera créditée sur votre compte.

D'un point de vue pénal, il faut savoir que tout travail dissimilé est une infraction qui est plus durement sanctionnée si la baby-sitter est mineure et soumise à obligation scolaire. Vous encourez alors jusqu'à 5 ans de prison et 75000€ d'amende. Quant au rattrapage de cotisation, l'Urssaf veille. La base forfaitaire de calcul est de 8000€.

Comment payer sa baby-sitter ?

Nous conseillons les chèques emploi service qui sont très simples d'utilisation car ils ne nécessitent pas de déclaration d'embauche ni de fiche de paye. Il suffit de s'inscrire sur le site du CESU, vous devrez saisir les renseignements concernant la personne que vous employez : date et lieu de naissance, numéro de sécurité sociale. Ensuite pour la payer, vous faites un chèque soit avec votre chéquier habituel ou bien celui du CNCESU, que vous pouvez vous procurer auprès de votre banque. Il est assorti d'un volet social, à renvoyer par la Poste. Ou, plus rapide encore, la déclaration en ligne sur le site du Cesu. Dans tous les cas, c'est ce dernier qui se charge de calculer les cotisations, de les prélever sur votre compte et d'envoyer une attestation d'emploi à la baby-sitter.

Vous pouvez aussi passer par un prestataire agréé de services à la personne, qui se charge du paiement, de la sélection de la baby-sitter et de son remplacement en cas d'absence, contre un coût annuel modique, voire gratuit.