lundi 25 juin 2012

Où acheter des couches pas cher pour votre bébé ?

Dans le dédale des couches, il est difficile de trouver le meilleur rapport qualité-prix.
Quelles couches choisir, entre les marques de magasin, les grandes marques, les marques bios, les couches lavables ?

Quel genre de couches choisir ?

Dès la sortie de maternité, on a fait son choix, même avant. On sait si on utilisera des couches jetables bios, les moins chères possible, des couches lavables.
Le choix peut se faire par rapport à la peau très fragile du bébé, ou un simple choix de vie. Les adeptes des couches lavables opteront pour un kit de démarrage acheté dans une boutique spécialisée.
C’est au final les plus écologiques et les moins chers. De plus elles sont réutilisables pour le prochain bébé.

Les couches de marques

Huggies numéro 4 : 20,45€ les 60 couches soit : 0,34€ la couche Pampers baby dry numéro 4 : 26,25€ les 80 couches soit :0,33€ la couche Il faut suivre les nombreuses promotions, on y gagne vraiment.
Quelquefois, les promotions sur Pampers sont plus intéressantes que l’achat des produits de distributeurs, elle est la couche la plus accessible à la sortie de la maternité, grâce aux nombreux bons de réductions reçus à la maternité ou téléchargeables sur le site Pampers.fr.
Les premières couches de cette marque sont parfaites, elles protègent bien les fesses de bébé grâce à un voile qui sèche les selles.

Les couches de marque distributeur ou hard discount.

Si les marques de distributeurs des hypermarchés sont assez bon marché, elles ne sont pas pour autant si bas de gamme que cela, et beaucoup de mamans les préfèrent à la célèbre Pampers.
Elles sont aussi souvent plus douces et confortables que les Huggies Les couches des hard discounters, pourraient paraître de mauvaise qualité tant elles sont bon marché, mais ce n’est pas le cas. Par exemple un paquet de 80 couches pour 11,99€ en taille 4 soit 0,15€ la couche. Elles sont confortables et très absorbantes. Elles peuvent être utilisées en couches de nuit quand l’enfant est devenu propre de jour.

Les meilleurs prix

Les marques au meilleur prix : Sur Ebay, Amazon, priceminister, le bon coin, on peut trouver régulièrement des affaires en or.
Mais il faut pouvoir investir et donc être sûr de vouloir utiliser cette marque pendant longtemps, ou acheter ces couches à 2 ou 3 mamans, en commandes groupées !
On peut aussi acheter des paquets entamés sur Ebay, ce qui peut être une bonne solution. Il faut comparer les prix, la couche Pampers ne doit pas revenir à plus de 20 centimes pour que ce soit une affaire, et sans frais de port.
Le meilleur rapport qualité-prix revenant à Aldi, avec ses 15 centimes mais il faut que le bébé l'accept.
Sinon il y a des sites Spécialisés comme Peaudouce direct, Allobébé, babycouches et feedodo. Je note que peaudouce et feedodo ont des produits différent avec un vrai choix pour feedodo. Pour les prix 0,15 centimes chez Peaudouce et Feedodo avec des Promos toujours présente.

Le « bébé-médicament » a guéri sa sœur




Asya, la sœur du premier « bébé-médicament » français né il y a dix-huit mois, a pu être sauvée d’une maladie génétique très rare grâce à son petit frère. Un miracle.


La science lui a donné la vie et il a redonné la vie à sa sœur. Près de dix-huit mois après sa naissance, Umut-Talha, premier « bébé-médicament » français, a permis à sa grande sœur Asya de guérir de la bêta-thalassémie sévère, une grave maladie génétique du sang dont elle souffrait.


Grâce aux cellules souches prélevées dans le cordon ombilical d’Umut-Talha à la maternité, le sang de la fillette de 5 ans est aujourd’hui comme « neuf ». Asya, qui était anémiée au point d’avoir besoin de transfusions sanguines, affiche de belles joues comme celles des enfants de son âge en bonne . Un miracle, mais qui ne doit rien à la providence. Car, au-delà de son frère Umut-Talha (« notre espoir » en turc), c’est à la médecine et au courage de ses parents qu’Asya doit sa guérison.

Concepteur du premier bébé-éprouvette français en 1982, le professeur René Frydman est un pionnier en matière de procréation médicale assistée. La loi française a donné son feu vert en 2006 au bébé-médicament, mais aucune équipe n’a tenté l’expérience. Logiquement, le couple se tourne vers lui.

Mais le chemin a été long. La maman a d’abord bénéficié d’une fécondation in vitro. Puis, des généticiens de l’hôpital Necker, à Paris, ont sélectionné les embryons non porteurs de la maladie. Ensuite, ils ont réalisé une seconde sélection : ils ont cherché à mettre de côté ceux qui étaient compatibles avec Asya ou Mehmet. « Malheureusement, il n’y en avait aucun de compatible avec Mehmet, raconte René Frydman. Les parents ont finalement choisi de réimplanter deux embryons non porteurs de la maladie, mais dont seulement un était compatible avec Asya. » Un seul verra le jour et, par chance, c’est ce dernier.

Le 26 janvier 2011, Umut naît en pleine forme, avec un beau cordon ombilical d’où les médecins prélèveront les précieuses cellules, qui seront greffées sur sa sœur huit mois plus tard à l’hôpital de Lyon, . Aujourd’hui, Asya court sans fatigue avec Umut. Mais ce dont ils rêvent, c’est que Mehmet puisse lui aussi se joindre à leurs jeux. Pour cela il faudrait un second bébé-médicament dans la famille. « Ce n’est pas impossible », conclut, énigmatique, René Frydman, avant de confier : « Oui, il y a d’autres bébés-médicaments en route en France. »

mercredi 6 juin 2012

La manifestation « Mon Bébé durable » à Reims





Organisée par l'association rémoise « Planète parents ».
Une première pour ces mamans qui ont partagé leurs savoirs, trucs et astuces pour prendre soin de bébé, faire des économies tout en respectant l'environnement et faciliter la vie quotidienne de toute la famille.
Atelier couches jetables et fabriquées maison, jeux créatifs et de recyclage pour les 3-10 ans, stand de dégustation de produits locaux et recettes de petits pots maison ou encore démonstration de portage et astuces pour concocter soi-même ses produits ménagers : les parents seront tous repartis avec au moins une voire plusieurs astuces pour faciliter et améliorer leur quotidien.

De la lessive maison aux couches lavables

Ainsi certains ont-ils appris à faire de la lessive maison avec Marie-Hélène, grâce à 50 g de savon de Marseille râpé et dilué dans un litre d'eau chaude, plus quelques gouttes d'huiles essentielles. « Je peux vous dire que ça marche du tonnerre et que c'est peu onéreux ».
D'autres auront peut-être été séduits par les couches fabriquées maison ou, pour les non couturières, les couches jetables et écologiques. Sarah et Marieke d'expliquer : « La moitié est recyclable et l'autre part au compost. C'est plus cher que les couches standards mais pas beaucoup plus que celles de marque. »
Ou alors seront-ils repartis avec leurs petits bouts arrimés à eux grâce à un simple morceau de tissu, parce qu'ayant bien retenu la technique du portage en écharpe et convaincus par la démonstration et les explications d'Anne-Sophie.
« C'est moins encombrant qu'une poussette dans le bus ou le tram, ça facilite la mobilité des parents et l'enfant se sent plus en sécurité : il entend les battements du cœur, il y a aussi la voix, l'odeur, la chaleur. Cette position verticale lui permet de mieux digérer et il est plus libre, il est acteur du portage et non pas transporté comme un vulgaire sac à patates. »
Reste que personne ne sera reparti bredouille.